LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES MODERNES DE L'ETOILE SIRIUS (ZITA DIA NZA) !
Les Grands Initiés Dogons du Mali et les Grands Initiés Bangunzu de Kongo Diakati ont conservés beaucoup de connaissances au sujet de Sirius.
Les Dogons parlent dans leur Cosmogonie de Sigi Tolo, de Po Tolo qui sont le Sirius "A" et Sirius "B" de la science occidentale.
Les Bena ba Kongo font référence à Zita dia Nza, le Soleil Central du Monde Sidéral et de Kakongo. Kakongo est la planète d'origine des Ancêtres des Bakongo qui étaient venus sur la Planète Terre dans les temps réculés. On parle de l'arrivée des Ancêtres Ne Nzala Mpandu et Mama Nkenge Lufuma venus dans un Char de Feu sur les plateaux de l'Etiopi.
Tandis que les Sages Dogons parlent de l'arrivée de leurs ancêtres appelés Nommo dans un engin spatiale déposant les premiers ancêtres des Dogons.
Mais que dit la Science Moderne au sujet de Sirius ?
L’étoile Sirius est l’étoile la plus brillante du ciel, au moins deux fois plus brillante que la deuxième étoile Canopus, et à ce titre ne pouvait passer inaperçue pour l’ensemble des hommes depuis la nuit des temps. Pourtant, à l’exception remarquable de l’Egypte ancienne, elle n’a pas une place centrale dans la plupart des cultures astronomiques.
La Grèce antique la baptisait " Seirios " (étincelante) et lui attribuait le même statut que les autres étoiles tandis qu’en Chine, nommée « Tian Lang » le loup céleste, elle était souvent comparée par son éclat à Venus.
Située, dans le prolongement d’un alignement remarquable de trois étoiles, le « baudrier » d’Orion, elle pourrait avoir également servi de repère en Amérique latine.
Désignée sous le nom de « spdt » ou « sepdt » (la pointue), l’étoile est traditionnellement associée au début de l’année égyptienne. Son lever héliaque, conjonction astronomique particulière sur laquelle nous reviendrons, coïncidait approximativement avec la crue bénéfique du Nil.
La redécouverte de Sirius par la science moderne eut lieu très tardivement mais l’étoile est au centre de nombreuses découvertes fondamentales pour l’astrophysique moderne.
On doit ainsi à Edmund Halley (le découvreur de la fameuse comète qui porte son nom) d’avoir réalisé en 1750 que l’étoile brillante n’était pas fixe mais mobile sur le ciel, en comparant la position de son époque avec celle approximative donnée par le grec d’Alexandrie, Ptolémée. Ce déplacement, qui est d’environ 1 degré (soit deux diamètres solaires) en 2700 ans, fut un argument supplémentaire contre le dogme aristotélicien des sphères célestes immuables, une chape idéologique qui bloqua tout progrès de l’astronomie européenne pendant des siècles.
Contrairement à cette vision d’un Univers « fixe », l’ensemble des corps célestes est au contraire en mouvement et la proximité de Sirius du Soleil rend ce mouvement perceptible.
Près d’un siècle plus tard, le mathématicien prussien Friedrich Bessel fit à son tour une découverte fondamentale en réalisant que le mouvement de Sirius n’était pas rectiligne mais sinueux. Par un savant calcul, il parvient à déterminer en 1844 que, selon les lois de la gravitation, ces écarts de Sirius ne pouvaient s’expliquer que par la présence d’un autre corps perturbateur en orbite autour de l’étoile dont la masse devait être au moins égale à celle du Soleil et qui devait tourner autour d’elle en 50 ans Cette étoile-compagon était pourtant invisible à l’époque, c’était un « soleil noir ».
Dans une lettre à Humbolt, Bessel maintient néanmoins l’existence de cette étrange étoile, déclarant «"J'adhère à la conviction que (les étoiles) Procyon et Sirius forment de vrais systèmes doubles consistant d'une étoile visible et d'une étoile invisible. Il n'y a aucune raison de penser que la luminosité soit une qualité essentielle des corps célestes. Et la visibilité d'innombrables étoiles n'est pas un argument contre l'invisibilité d'innombrables autres" autrement dit l’absence d’évidence n’est pas l’évidence de l’absence.
Les premiers progrès des instruments astronomiques allaient lui donner raison. En 1862, l’opticien américain Alvan Clark qui venait de terminer la construction d’une lunette de 47 cm de diamètre, la plus grande pour l’époque, l’installa le 31 janvier dans la cour de sa maison près de Boston et décida de l’essayer sur Sirius. Il fut ainsi le premier à voir le compagnon de Sirius, une petite étoile environ dix mille fois plus faible que Sirius et située à très faible distance d’elle. Son très faible éclat ne semblait pouvoir s’expliquer que par une température très basse mais les premières mesures réalisées en 1914 par Walter Adams allait prouver le contraire, indiquant une température très élevée de 8500 degrés, supérieure à celle du Soleil.
Par quel miracle, brillait-elle si peu ?
La contradiction ne fut résolue que par l’astrophysicien Arthur Eddington qui arriva à la conclusion que ce faible éclat ne pouvait résulter que d’une taille de l’étoile bien inférieure à celle du Soleil. D’après ses calculs, le deuxième Sirius, nommé Sirius-B, devait plutôt avoir une taille similaire à celle d’une planète comme Neptune !
La particularité de ces étoiles qu’Eddington baptisa « naines blanches » était alors leur extrême densité. Une étoile de la masse du Soleil dans le volume d’une planète devait être constituée d’une matière incroyablement dense où un cube d’un centimètre de coté a une masse d’une tonne, un litre de cette matière une masse proche de la Tour Eiffel !
L’existence et la structure de cette matière inconnue sur Terre n’ont pu être expliquées qu’en 1926 par la théorie de la Mécanique Quantique. Aujourd’hui, ces astres singuliers sont bien compris. Ce sont les restes d’étoiles qui, ayant terminé l'essentiel de leur vie lumineuse ont expulsé leurs couches extérieures et ont vu leur coeur s’effondrer. Ce coeur dense, constitué principalement de carbone et partiellement d’oxygène et d’azote, se refroidit désormais lentement et inéluctablement et nous apparaît comme une petite étoile très chaude, la naine blanche.
Le compagnon de Sirius est la première et la plus proche des quelques milliers de naines blanches découvertes à ce jour. L’étoile est invisible à l’oeil nu, en premier lieu bien sûr car elle est noyée dans le halo de lumière diffusée par Sirius. Mais, même isolée dans le ciel, Sirius-B resterait inaccessible à l’observation car environ dix fois plus faible que la plus petite des étoiles visibles à l’oeil nu, lors de nuits exceptionnellement noires.
Après plus de deux révolutions depuis sa découverte, sa trajectoire est relativement bien connue, C’est une ellipse relativement aplatie (d’excentricité 0,59) que Sirius-B parcourt en 50 ans et 18 jours, de sorte que sa distance à Sirius-A varie selon les époques. Au plus près, elle est à une distance de Sirius-A équivalente à la distance Soleil-Saturne. C'est le cas en ce moment et de
nouveau vers 2044.
Au plus loin, elle s'éloigne à une distance équivalente à l'orbite de Neptune. Ce sera le cas vers 2024. A la distance de Sirius, cette distance correspond sur le ciel à un angle variant entre 3 et 12 secondes d’arc (l’équivalent d’une pièce de monnaie à 200 mètres de distance), alors que dans des conditions idéales, l’oeil humain ne peut distinguer un angle inférieur à environ 90 secondes d’arc. Même si elles étaient de luminosités convenables, les deux étoiles ne seraient donc pas séparables à l’oeil nu.
Il faut encore ajouter à propos de Sirius une interrogation importante sur la couleur de l’étoile basée sur l’Almageste, le catalogue de Ptolémée recomposé par les astronomes arabes où Sirius est classée comme une étoile rouge alors que l’étoile que nous observons est blanche-bleue.
Des travaux plus récents ont montré qu’au moins un texte chinois indépendant, approximativement contemporain de Ptolémée, faisait également référence à un changement de couleur.
Cette coïncidence nous a amené à considérer l’existence d’une perturbation notable de l’aspect de Sirius, il y a environ 2000 ans qui aurait pu être provoquée par une troisième étoile. L’existence d’une troisième étoile, deuxième compagnon de Sirius, avait été par ailleurs rapportée par plusieurs observateurs observant visuellement (et non photographiquement) au foyer de grandes lunettes astronomiques, au cours des années 1920 mais ne fut jamais confirmée ultérieurement.
Nos travaux récents d’étude du champ d’étoiles autour de Sirius a apporté une première explication. Nous avons pu montrer que ces observations se référaient très probablement au passage de Sirius proche d’une étoile relativement brillante qui, compte tenu du mouvement de déplacement de Sirius apparaissait à cette époque en superposition dans le voisinage immédiat.
Ce rapprochement s’est achevé vers 1945. La recherche du deuxième compagnon de Sirius est donc pour l’instant restée vaine. Les efforts entrepris pour tenter de photographier, grâce à des techniques nouvelles, un éventuel deuxième compagnon a abouti pour l’instant à la conclusion que, si ce compagnon existe, il ne peut être qu’une étoile de très petite masse.
L’analogie entre certains aspects des récits Dogon et les découvertes scientifiques concernant Sirius n’a pas manqué d’être relevée. Parmi ceux-ci, l’existence même du compagnon, les caractéristiques de sa trajectoire, sa nature dense et son caractère de matière « essentielle » car la matière d’une naine blanche est effectivement le creuset où se sont fabriqués tous les éléments chimiques autre que l’hydrogène et l’hélium.
L’existence d’un deuxième compagnon peut également sembler faire référence à la fugitive fausse détection de 1920. A l’évidence, ces résultats ne peuvent provenir d’une observation visuelle directe. Sont-elles importées ou le résultat d’intuitions ?
Certains exemples célèbres, comme l’invention par le philosophe Kant du concept de galaxie alors même que l’on ignorait tout de leur existence, sont là pour nous montrer qu’entre science et intuition poétique les frontières peuvent être floues.
Soyons clair, Pour les Dogon, la transmission directe des informations, totale ou partielle, est plausible, même peut-être probable, mais il n’y a aujourd’hui aucun moyen de le prouver.
En revanche, ce qui est plus intéressant est l’intérêt éminent que les Dogon ont apporté à ces connaissances, traduisant ainsi leurs interrogations astronomiques fondamentales. Plus que de vouloir revendiquer l’origine des informations, il semble plus essentiel de comprendre comment elles sont venues s’associer aux conceptions très élaborées qu’entretiennent les Dogon avec l’étoile Sirius et qui, elles, ne peuvent être mises en doute. C’est à l’issue de longues conversations sur ce sujet avec Germaine Dieterlen que nous avons décidé d’entreprendre une enquête très concrète sur le terrain, destinée à préciser les connaissances astronomiques Dogon.
Commentaire de Ntumua Mase :
Nous voyons que nos Ancêtres avaient des connaissances astronomiques très scientifiques avant l'arrivée des Mindele (Européens) qui inventèrent l'idée que les noirs n'étaient pas civilisés.
Grâce aux connaissances des Sages Dogons que les Européens ont pu déterminés l'existence d'un compagnon de l'Etoile Sirius..... Mais les Dogons parlent d'autres compagnons de Sigi Tolo (étoile Sirius) qu'aucuns moyens moderners n'arrivent à détecter.
Comment les Dogons qui n'ont pas de télescopes, ni de sattelites connaissent des astres, des constellations avec une précision inimaginable ?
Réponse : Ces connaissances proviennent des Nommo, des ancêtres extraterrestres des Dogons a dit Ntumua Mase !
Il en est de même pour les Bena ba Kongo Nimi qui sont les descendants de l'Ancêtre Extraterrestre nommé : NE NZALA MPANDU !
Dans cette Ere du Verseau appelée TANDU KIA KINATIMASA, l'Humanité Terrestre ser réconcilier avec les BANA BA ZULU...Bu ntele !
Ntumua Mase
Ne Mafunda Nkanu